Comment devenir riche : la méthode qui fonctionne vraiment

On pense souvent que devenir riche est réservé à une poignée de privilégiés. À ceux qui héritent d’un parent millionnaire, qui réussissent un coup de poker en Bourse, ou qui gagnent au loto.

Selon le Conseil d’analyse économique, 60 % de la richesse des Français provient de l’héritage. Faut-il pour autant rester passif et attendre ? Non : il existe des leviers concrets pour s’enrichir en partant de rien.

Pourtant, beaucoup baissent les bras à l’idée de faire fortune pensant que « c’est pour les autres ».

Cette réaction est compréhensible. Car l’école ne nous apprend ni à gérer son argent, ni comment investir.

L’investissement semble complexe, inaccessible. Et l’indépendance financière, trop belle pour être vraie.

En réalité, apprendre à devenir riche est réalisable. Il est possible de créer les conditions pour développer son patrimoine, étape par étape. Et il n’est pas nécessaire d’être riche ou d’avoir un parent millionnaire pour passer à l’action.

Ce qu’il faut en revanche, c’est de la rigueur et l’appropriation d’une méthode réaliste d’enrichissement.

C’est exactement ce que vous allez découvrir ici.

Icône Loupe Dans cet article, on vous présente une approche claire et accessible pour atteindre vos objectifs patrimoniaux.
En fin de lecture, vous verrez des exemples concrets qui prouvent qu’il est possible d’atteindre la liberté financière même en partant de zéro.

Pas à pas, nous vous guidons pour faire les bons choix.

Être riche, c’est quoi ?

Avant de parler de méthode ou de stratégie, il faut commencer par se poser une question simple en apparence : qu’est-ce que ça veut dire, être riche ?
Et la réponse n’est pas si évidente.

Pour certains, être riche, c’est avoir de hauts revenus. Pour d’autres, c’est posséder un patrimoine conséquent.
Mais en réalité, la richesse n’est pas une notion universelle : elle dépend fortement de votre niveau de dépenses, de votre mode de vie, de votre lieu de résidence et de votre situation familiale.

Avoir 5 000 € par mois à Paris ou à Lyon n’offre pas le même confort qu’à Clermont-Ferrand, Montpellier ou encore Lisbonne.
De même, une famille avec trois enfants n’aura pas les mêmes besoins qu’un célibataire.

Devenir libre financièrement

Être riche, ce n’est pas seulement gagner beaucoup d’argent. C’est avant tout ne plus se sentir contraint financièrement dans ses choix de vie.
C’est pouvoir dire oui à une dépense importante sans angoisse, et pouvoir dire non à une activité rémunérée qui ne vous plaît pas.

Autrement dit : être riche, c’est pouvoir choisir, sans pression financière.

Mais attention : vouloir s’enrichir ne doit pas devenir une obsession. Il faut trouver un équilibre entre la construction de votre indépendance financière et la capacité à profiter de la vie aujourd’hui.

Revenus vs patrimoine : où se situe la vraie richesse ?

Dans cet article, nous allons mettre l’accent non pas sur les revenus, mais sur le patrimoine générateur de revenus.

Pourquoi ? Parce que de hauts revenus sans patrimoine ne garantissent pas la richesse :

  • Ils peuvent disparaître (licenciement, maladie, accident de vie),
  • Ils dépendent d’une activité salariée ou indépendante que vous devez maintenir,
  • Et ils peuvent être totalement absorbés par un train de vie élevé, sans jamais permettre de s’enrichir.

À l’inverse, un patrimoine bien construit peut générer des revenus passifs, stables et durables.
C’est ce capital accumulé qui permet, un jour, de ne plus dépendre de personne pour subvenir à ses besoins.

Notre définition de la richesse, c’est donc celle-ci :

atteindre un niveau de patrimoine suffisant pour ne plus dépendre d’un tiers pour vivre, tout en préservant ce capital dans le temps.

C’est la base de ce qu’on appelle l’indépendance financière :
vivre selon ses propres règles, grâce à un patrimoine qui travaille pour vous, et non l’inverse.

C’est avoir la possibilité de devenir rentier tout comme choisir d’exercer un métier sans obligation.

Un seuil de richesse à définir

Il n’existe pas un seul seuil universel de richesse.
Pour certains, 500 000 € de patrimoine suffisent. Pour d’autres, il faut être millionnaire ou plus.

Selon un sondage Odoxa, les Français estiment qu’on est “riche” à partir de 5 000 € de revenus mensuels ou 500 000 € de patrimoine.
Mais ce chiffre est à prendre avec prudence : tout dépend de votre train de vie, vos charges, votre situation familiale, votre profil de risque en tant qu’investisseur.

C’est donc à vous de définir votre propre seuil de richesse.
A vous d’estimer le niveau de patrimoine à partir duquel vous pourrez générer des revenus passifs. C’est à partir de celui-ci que vous définirez votre plan d’action pour devenir riche.

Posez-vous ces questions simples :

  • Aurais-je besoin de travailler pour vivre avec ce niveau de richesse ?
  • Les gains générés par mon patrimoine couvriront-ils mes dépenses ?
  • Puis-je choisir ce que je fais de mon temps, sans contrainte financière ?

Après avoir défini votre objectif patrimonial, vous pouvez commencer à appliquer une méthode d’investissement.

Avant de chercher à investir en Bourse, dans l’immobilier ou d’autres véhicules de croissance, la première étape pour devenir riche consiste à sécuriser sa situation financière.
C’est le socle indispensable d’un patrimoine bien construit.

Sécuriser sa situation personnelle : la base avant d’investir

Avant de viser l’enrichissement, assurez-vous d’abord de couvrir vos besoins essentiels et de constituer un matelas de sécurité solide.

Construire un matelas de sécurité avec les livrets bancaires

Ils ne vous rendront pas riche, mais ils vous protègent efficacement.

Pourquoi ? Parce que ce sont des produits d’épargne sans risque, garantis par l’État. Vous placez de l’argent, vous pouvez le retirer à tout moment, et vous récupérez l’intégralité de la somme, avec un petit gain à la clé.

Voici les principaux livrets et leurs plafonds :

  • Livret A : 22 950 €
  • LDDS (Livret de Développement Durable et Solidaire) : 12 000 €
  • Livret Jeune : 1 600 € (réservé aux 12-25 ans)
  • LEP (Livret d’Épargne Populaire) : 10 000 € (sous conditions de ressources)

Tous ces livrets sont exonérés d’impôt, facilement accessibles, et disponibles à tout moment.
En revanche, ils sont plafonnés et peu rémunérateurs : 2,4 % pour le Livret A au 1er février 2025, souvent en dessous de l’inflation.

Leur vrai rôle : un filet de sécurité, pas un outil d’enrichissement

Ce type d’épargne a un objectif : vous protéger en cas d’imprévu. Il s’agit d’un coussin de sécurité.

Idéalement, conservez entre 3 et 6 mois de dépenses courantes sur vos livrets. Cela vous permettra de faire face à une urgence, une perte d’emploi ou toute autre situation imprévue sans vendre dans la précipitation vos investissements long terme.

Inutile de chercher à remplir tous les plafonds, sauf si vous avez un projet à court terme.
Et surtout, ne confondez pas sécurité et performance. Ces livrets ne sont pas faits pour vous enrichir, mais pour vous protéger.

Acheter ou louer : un vrai choix stratégique

L’achat de la résidence principale est souvent vu comme un passage obligé. Pourtant, ce n’est pas toujours le choix le plus pertinent pour devenir riche.

Acquérir un bien immobilier entraîne plusieurs conséquences financières :

  • Un apport personnel immobilisé (et donc non investi ailleurs),
  • Des frais de notaire élevés (environ 8 % du prix),
  • Des intérêts d’emprunt à rembourser,
  • Des charges d’entretien et travaux souvent sous-estimées,
  • Une taxe foncière à payer chaque année,
  • Et, souvent, une mensualité de crédit supérieure à un loyer, dont la différence ne peut pas être investie.

Dans certaines situations, la location peut s’avérer bien plus rentable sur le long terme.

L’achat de votre résidence principale, et le crédit qui l’accompagne, peuvent aussi vous restreindre dans vos objectifs.
Par crainte de ne pas pouvoir rembourser votre emprunt, cela peut vous empêcher de prendre certaines décisions comme :

  • Changer de travail pour un poste mieux rémunéré, car cela implique une prise de risque (période d’essai),
  • Quitter votre emploi pour lancer un projet entrepreneurial à fort potentiel,
  • Accepter une opportunité de mobilité, en France ou à l’étranger, susceptible d’améliorer votre situation financière.

Cela ne veut pas dire que l’achat est toujours une erreur. Dans certains cas, l’acquisition peut être opportune financièrement :

  • Quand les perspectives de plus-value sont suffisamment importantes (par exemple, grâce à des travaux réalisés),
  • Quand les mensualités de crédit sont plus faibles que les loyers,
  • Quand l’apport financier demandé par la banque est faible,
  • Quand les taux de crédit sont bas.

Le choix n’est pas qu’économique, il dépend aussi de vos objectifs personnels, familiaux, émotionnels.

Mais d’un point de vue strictement financier, il est essentiel de bien faire ses calculs avant de se lancer.

💡 Bon à savoir

Le délai moyen pour vendre une maison ou un appartement est d’environ 3 mois, mais il peut varier de 1 mois à 1 an selon l’emplacement et le type de bien.

Il est important de garder cela en tête si vous avez besoin de liquidités rapidement.

Acheter un bien immobilier, c’est immobiliser une part importante de votre argent.

En cas d’urgence, vous pourriez être contraint de vendre rapidement, parfois à un prix inférieur à sa valeur réelle.

Éviter les pièges : crédit conso et dépenses incontrôlées

Autre pilier d’une situation budgétaire saine : évitez à tout prix les crédits à la consommation si vous souhaitez devenir riche.
Ce sont des emprunts très coûteux, à taux d’intérêt élevés, qui freinent votre capacité à investir intelligemment.

Chaque euro dépensé dans un crédit conso est un euro qui ne travaille pas pour vous.
Et pire encore : trop d’endettement mal géré peut vous empêcher d’accéder à un crédit immobilier pour investir.

Enfin, gardez une règle d’or en tête :
Maîtrisez vos dépenses, suivez votre budget, et payez vous en premier.
Cela signifie que chaque mois, vous devez mettre de côté une partie de vos revenus avant même de penser aux dépenses.

C’est cette discipline qui vous permettra de constituer une épargne de précaution puis d’investir dans des actifs qui vous rendront réellement riche.

Il est essentiel d’épargner avec rigueur et de limiter les dépenses inutiles. Mais cela ne veut pas dire se priver de tout plaisir. L’enjeu, c’est de trouver un équilibre entre construire son avenir et profiter du présent, en fonction de ses moyens.

S’enrichir avec l’assurance-vie, le PEA et le PER

Dès que vous avez constitué un matelas de sécurité, il est temps de passer à l’étape suivante : faire fructifier votre argent.

Pour cela, trois enveloppes sont à privilégier : l’assurance-vie, le PEA (Plan d’Épargne en Actions) et le PER (Plan d’Epargne Retraite).

Les deux premiers supports sont des piliers pour construire un patrimoine solide à long terme, tout en bénéficiant d’une fiscalité avantageuse.

Pourquoi utiliser ces enveloppes ?

Leur principal atout ? La fiscalité différée.
Tant que vous ne retirez pas d’argent, vous ne payez aucun impôt sur les gains et faites fructifiez votre argent.

C’est ce qu’on appelle le mécanisme de capitalisation : vos intérêts génèrent eux-mêmes des intérêts et ainsi de suite, sans être ralentis par la fiscalité.

Sur le long terme, cela fait toute la différence.

C’est pourquoi il est essentiel de prendre date le plus tôt possible. Plus vous ouvrez ces enveloppes tôt, plus vous laissez le temps jouer en votre faveur.

Et plus vous tirez parti des intérêts composés et des avantages fiscaux liés à l’ancienneté de vos contrats.

L’assurance-vie : outil pour développer son patrimoine et le transmettre

Souvent perçue comme un simple outil de succession, l’assurance-vie est en réalité un couteau suisse patrimonial. Elle permet de :

  • Constituer un capital à votre rythme,
  • Générer des revenus complémentaires à terme faiblement fiscalisés,
  • Préparer la transmission de votre patrimoine avec une fiscalité très avantageuse.

En cas de retrait, seuls les gains sont fiscalisés. Et après 8 ans, la fiscalité devient encore plus douce :

  • Abattement de 4 600 € pour une personne seule, ou 9 200 € pour un couple sur les gains imposables,
  • Au-delà : 7,5 % d’impôt sur le revenu sur les gains + 17,2 % de prélèvements sociaux.

Ces conditions s’appliquent tant que vos contrats n’excèdent pas 150 000 €. Au-delà, un taux global de 30 % s’applique sur les gains.

En cas de décès, les capitaux transmis profitent d’un abattement fiscal de 152 500 € par bénéficiaire, si les versements ont été faits avant vos 70 ans.

L’assurance-vie vous permet également de choisir entre :

  • Le fonds en euros, sécurisé mais à rendement faible, idéal pour les profils prudents,
  • Les unités de compte, qui donnent accès à une large gamme d’actifs : SCPI, OPCVM, et surtout ETF pour dynamiser votre épargne.

Le PEA : investir en actions avec une fiscalité très avantageuse

Le PEA est conçu pour investir en bourse, notamment via des actions ou des ETF éligibles (principalement européens, ou mondiaux via certains ETF synthétiques).

Il est un peu plus rigide : tout retrait avant 5 ans entraîne sa clôture. Mais en contrepartie, sa fiscalité est redoutablement efficace :

  • Après 5 ans, les gains sont exonérés d’impôt sur le revenu, seuls les prélèvements sociaux de 17,2 % s’appliquent.
  • Avant 5 ans, les retraits sont imposés à 30 % (flat tax).

Comme pour l’assurance-vie, aucun impôt n’est dû tant que vous ne retirez pas, ce qui maximise l’effet boule de neige de vos investissements.

Le PEA est donc une excellente enveloppe pour investir sur le long terme, et viser une réelle croissance de votre capital.

Le PER pour défiscaliser et préparer sa retraite

Souvent oublié, le Plan d’Épargne Retraite (PER) est pourtant un outil stratégique, surtout si vous êtes fortement imposé. Il permet à la fois de réduire vos impôts et de préparer l’avenir.

Un outil pour défiscaliser

Les versements sont déductibles de vos revenus imposables dans la limite d’un plafond annuel.

Réduire ses impôts peut contribuer à l’enrichissement, en augmentant chaque année le capital disponible pour l’épargne ou l’investissement. Mais attention : tous les dispositifs fiscaux ne se valent pas.

Par exemple, le dispositif Pinel commercialisé par des banquiers ou conseillers est déconseillé. S’il permet effectivement de réduire ses impôts, il ne garantit pas une rentabilité globale satisfaisante. Plusieurs facteurs jouent en sa défaveur :

  • Prix d’achat souvent surévalué,
  • Rentabilité locative limitée,
  • Imposition sur les revenus fonciers,
  • Plus-value à la revente généralement faible.

En investissement, il faut analyser à la fois l’avantage fiscal et le rendement économique global (y compris la revente). Un mauvais montage peut, malgré l’économie d’impôt, se révéler perdant.

Le PER (Plan d’Épargne Retraite), contrairement à un investissement en Pinel, permet à la fois de réduire ses impôts tout en faisant fructifier son capital sur le long terme grâce aux intérêts composés.

C’est une solution plus flexible et souvent plus performante, à condition de choisir des supports d’investissement cohérents avec votre profil de risque.

Accessible et flexible

Le PER est ouvert à tous (salariés, indépendants, retraités), dès 18 ans.
Les versements sont libres, et la sortie possible :

  • En capital (total ou fractionné),
  • En rente,
  • Ou mixte.

Des cas de déblocage anticipé sont prévus (notamment l’achat de la résidence principale, invalidité, décès du conjoint…).

Une fiscalité avantageuse à bien anticiper

  • Les sommes retirées à la sortie du contrat, correspondant aux versements déduits, sont soumises à l’impôt sur le revenu.
  • Mais si vous êtes dans une tranche marginale élevée aujourd’hui, vous pouvez profiter d’un effet de levier fiscal.
  • En cas d’accident de la vie, le capital à la sortie est exonéré d’impôt (hors prélèvements sociaux sur les gains).

💡 Bon à savoir : quand défiscaliser avec le PER ?

À privilégier si :
• Vous êtes dans une tranche marginale d’imposition élevée (30 %, 41 %, 45 %),
• Vos revenus seront plus faibles à la retraite, donc une fiscalité plus douce à la sortie.

C’est la différence entre votre taux marginal d’imposition à la sortie et celui d’aujourd’hui qui constituera votre levier fiscal.

À éviter si :
• Vous êtes peu ou pas imposable aujourd’hui.

Mieux vaut alors cibler des enveloppes comme l’assurance-vie, plus souples et fiscalement avantageuses même sans défiscalisation à l’entrée.

Transmettre efficacement

Avec un PER assurantiel, vous bénéficiez du même abattement que l’assurance-vie : jusqu’à 152 500 € par bénéficiaire si le décès intervient avant 70 ans (30 500 € après 70 ans).

Maintenant que vous connaissez les enveloppes les plus efficaces, reste à répondre à une autre question essentielle : dans quels actifs investir à l’intérieur de ces enveloppes pour faire croître votre patrimoine ?

Privilégier les ETF

Les ETF (Exchange Traded Funds), aussi appelés trackers, sont des fonds qui répliquent fidèlement un indice boursier (comme le CAC 40, le S&P 500 ou le Nasdaq 100). Ce sont des outils incontournables pour devenir riche.

Les avantages concrets des ETF

  • Frais très faibles : souvent 7 à 10 fois moins élevés que ceux des fonds gérés activement.
  • Performance solide sur le long terme : historiquement, les ETF sur les grands indices mondiaux surperforment la majorité des fonds traditionnels.
  • Simplicité de gestion : inutile de choisir les “bonnes” actions, l’indice le fait pour vous.
  • Gain de temps : pas besoin d’analyser les marchés ou suivre les entreprises au quotidien.

Exemple : performance sur 10 ans d’un ETF Nasdaq 100

Exemple investissement ETF Nasdaq sur 1, 3, 5 et 10 ans

Un ETF Amundi sur le Nasdaq 100 a délivré en moyenne +17 % par an ces 10 dernières années.

Même si les performances passées ne garantissent pas les résultats futurs, la bourse (en particulier les ETF) se démarquent par leur rendement historiquement attractif sur le long terme.

L’appui des plus grands investisseurs

De nombreux investisseurs légendaires recommandent les ETF aux particuliers :

  • Warren Buffett :
    « Un fonds indiciel à bas coût est le placement en actions le plus raisonnable pour la grande majorité des investisseurs. »
  • John C. Bogle, fondateur de Vanguard :
    Pionnier de l’investissement passif, il a bâti une philosophie centrée sur les faibles frais et la croissance du marché, sans spéculation inutile.

Ce que dit la science économique

La théorie des marchés efficients (Eugene Fama)

Selon cette théorie, toutes les informations disponibles sont déjà intégrées dans les prix des actifs.

Résultat : il est extrêmement difficile de battre le marché sur la durée.

Burton Malkiel va dans le même sens avec son livre A Random Walk Down Wall Street : pour lui, inutile d’essayer de prédire les cours, autant suivre le marché avec des ETF.

Les biais comportementaux (Kahneman, Tversky, Thaler)

Nos émotions nuisent souvent à notre stratégie d’investissement selon les économistes de la finance comportementale, notamment à cause d’un :

  • Excès de confiance,
  • Aversion à la perte,
  • Ancrage irrationnel sur certaines positions.

Les ETF permettent de limiter ces biais en supprimant la tentation de “jouer au trader”.

Investir avec méthode : diversification et DCA

La méthode DCA consiste à investir un montant fixe à une fréquence régulière (chaque mois par exemple). Cela permet de :

  • Lisser les points d’entrée,
  • Réduire le stress lié aux fluctuations du marché,
  • Éviter de tenter (souvent à tort) de “timer” le marché.

Aussi, pour limiter les risques, il ne faut pas mettre ses œufs dans le même panier.

Il faut penser à choisir des ETF en fonction de critères :

  • Géographiques : États-Unis, Europe, émergents…
  • Sectoriels : tech, santé, énergie…

💡Bon à savoir : Un seul ETF peut vous exposer à plusieurs centaines d’entreprises notamment un ETF Monde. Mais attention à la prépondérance des sociétés technologiques américaines y compris dans un ETF mondial.

Les frais : un paramètre souvent ignoré

Sur 10 ou 20 ans, les frais ont un impact énorme. C’est pourquoi il faut :

  • Éviter les contrats d’assurance-vie ou PEA bancaires trop onéreux,
  • Privilégier les solutions en ligne à faible coût (0 % de frais d’entrée, gestion <1 %),
  • Privilégier les ETF plutôt que les fonds actifs.

Icône jauneUn petit écart de frais aujourd’hui peut représenter des milliers d’euros de moins dans 20 à 30 ans.

Impact chiffrée des frais de gestion : ETF vs fonds de gestion actif

Devenir riche avec l’effet de levier du crédit

Une fois un socle financier solide constitué avec une épargne de précaution, et les premiers placements financiers, il est possible de passer à une nouvelle étape.

L’effet de levier du crédit : investir avec peu de capital

L’un des grands avantages de l’immobilier réside dans la possibilité d’investir en grande partie avec des fonds empruntés. C’est ce que l’on appelle l’effet de levier.

En pratique, un bien peut être financé avec un apport limité, le reste étant pris en charge par un prêt bancaire. Les loyers perçus contribuent ensuite au remboursement du crédit, permettant ainsi de se constituer un patrimoine avec une mise de départ maîtrisée.

Utilisé de manière rigoureuse, ce mécanisme est un accélérateur puissant de l’enrichissement personnel.

La location meublée : un régime fiscal particulièrement avantageux

Parmi les différents types de location, la location meublée (LMNP) présente un intérêt fiscal notable. Grâce au mécanisme de l’amortissement, il est possible de déduire chaque année une part de la valeur du bien et du mobilier des revenus locatifs.

Ce dispositif permet ainsi de réduire significativement, voire d’annuler l’imposition sur les loyers perçus, pendant plusieurs années.

Néanmoins, toutes les localisations ne se prêtent pas à ce montage. Il est nécessaire de réaliser une analyse approfondie de la demande locative locale pour choisir entre location meublée et location nue.

Les SCPI : investir dans l’immobilier sans contrainte de gestion

Pour ceux qui souhaitent s’exposer à l’immobilier sans en assurer la gestion, les SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier) représentent une alternative pertinente.

Ces structures collectent des fonds pour investir dans des biens immobiliers (bureaux, logements, commerces) et redistribuent une partie des loyers aux porteurs de parts.

Il est possible de financer l’achat de parts de SCPI à crédit, ce qui permet de bénéficier de l’effet de levier sans avoir à gérer un bien physique.

Diversifier avec l’immobilier

L’immobilier a toute sa place au sein d’une stratégie patrimoniale équilibrée.

Il offre une diversification d’actifs, une stabilité relative face à la volatilité des marchés financiers, et des revenus réguliers.

Anticiper la transmission : penser à la SCI

Pour ceux qui souhaitent investir en famille ou structurer leur patrimoine immobilier à long terme, la Société Civile Immobilière (SCI) est une solution à envisager.

Elle permet de faciliter la gestion collective des biens, mais aussi d’optimiser la transmission, notamment par le biais de donations de parts sociales dans un cadre fiscal avantageux.

De plus, la SCI offre la possibilité de choisir son régime d’imposition en fonction de sa situation. Vous pouvez en effet choisir entre l’impôt sur le revenu ou l’impôt sur les sociétés.

Créer son entreprise : un accélérateur de richesse

Contrairement aux idées reçues, il n’est pas nécessaire de disposer d’un capital important pour se lancer dans l’entrepreneuriat.

De nombreux projets peuvent démarrer avec des moyens limités, notamment dans les secteurs numériques, les services ou le conseil.

Ce type de démarche peut être envisagé très tôt, dès lors que votre situation personnelle est sécurisée (épargne de précaution, revenus stables).

Lancer une activité avec peu de moyens

Certaines activités sont particulièrement adaptées à un démarrage à faible coût.

C’est le cas de :

  • la création de contenus (blog, vidéo, formation),
  • les prestations intellectuelles (coaching, consulting, freelance),
  • ou encore certains modèles de e-commerce.

Ces projets nécessitent surtout du temps, des compétences, et une bonne exécution.

Étudier le marché et se former

Avant de se lancer, il est essentiel d’analyser le secteur visé. Il faut s’interroger sur :

  • la dynamique du marché (croissance, saturation),
  • les obstacles à l’entrée.

Une bonne préparation implique aussi de se former : lectures spécialisées, échanges avec des entrepreneurs, ou formations ciblées. Cela réduit fortement le risque d’erreur et donc d’échec.

Choisir un domaine cohérent avec son profil

Créer une entreprise dans un secteur que l’on comprend et qui fait sens avec ses compétences augmente les chances de succès. Une bonne adéquation entre votre profil et votre projet constitue un levier de différenciation.

Cela rend également l’expérience plus agréable, car vous êtes aligné avec votre environnement professionnel.

Créer un actif valorisable

L’un des avantages majeurs de l’entrepreneuriat est la possibilité de construire un actif.

En tant que salarié, vous ne pouvez pas revendre votre expertise en dehors d’un salaire. A contrario, une entreprise peut prendre de la valeur au fil du temps en plus de générer des revenus.

Elle peut ainsi être revendue partiellement ou totalement.

C’est une manière concrète de développer son patrimoine à long terme, au-delà des placements financiers traditionnels.

L’entrepreneuriat n’est pas sans risque, mais l’échec ne doit pas être un frein. Il fait partie intégrante du parcours. De nombreux entrepreneurs connaissent plusieurs tentatives avant de réussir. Ce qui compte, c’est la capacité à apprendre, ajuster, et persévérer.

Attention aux illusions de facilité

Beaucoup de discours sur l’entrepreneuriat promettent richesse et liberté en quelques clics. Il faut pourtant distinguer le rêve de la réalité :

  • Le dropshipping est souvent présenté comme un modèle miracle. Or, si certains réussissent temporairement, la majorité échoue faute de qualité, de différenciation et de pérennité.
  • Les vendeurs de formations qui vous promettent des résultats rapides gagnent surtout leur argent en vendant ces formations, pas en appliquant les méthodes qu’ils prônent.
  • Créer une entreprise ne consiste pas à suivre une méthode standardisée. Entreprendre, c’est innover, comprendre son marché, identifier une demande réelle, construire une offre solide. Cela demande du temps, de la préparation, et parfois un investissement de départ selon le secteur.
  • Ce n’est pas inaccessible. Mais ce n’est pas non plus aussi simple que certains le prétendent.

Et si on préfère rester salarié ?

Créer une entreprise n’est pas une obligation pour s’enrichir. Une carrière de salarié, bien gérée, peut tout à fait permettre d’atteindre ses objectifs patrimoniaux.

Ce qui compte, c’est d’augmenter progressivement ses revenus (par la négociation ou la mobilité), de conserver un taux d’épargne élevé, et de faire fructifier intelligemment ce capital.

Mais pour celles et ceux prêts à s’impliquer, à se former et à prendre des risques maîtrisés, l’entrepreneuriat offre un potentiel unique : celui de générer des revenus importants tout en créant de la valeur.

Devenir riche grâce aux placements alternatifs

Une fois vos investissements de base en place (livrets, ETF, immobilier), vous pouvez envisager des placements alternatifs.

Ils permettent de diversifier davantage votre patrimoine, tout en cherchant à capter de nouvelles opportunités de rendement.

Mais ces véhicules demandent rigueur, sélectivité et prudence.

Le crowdfunding et le private equity

Deux formes d’investissement alternatif se sont fortement développées ces dernières années :

  • Le crowdfunding : il s’agit de financer des projets (souvent immobiliers ou entrepreneuriaux) via des plateformes en ligne. En échange, l’investisseur perçoit un rendement fixe ou variable selon le montage.
  • Le private equity : il consiste à investir dans des entreprises non cotées en bourse, souvent via des fonds spécialisés ou des plateformes dédiées.

Ces placements peuvent offrir des rendements élevés (parfois jusqu’à 8 à 10 % par an, voire plus). Mais attention, ils sont aussi très peu liquides et reposent souvent sur la seule perspective d’une revente future. Ainsi, il faut envisager ces investissements que dans une perspective de long terme.

Objets de valeur : investir avec passion (et expertise)

Il est aussi possible d’investir dans des objets tangibles : montres, vin, œuvres d’art, voitures de collection, etc. Ces actifs peuvent prendre de la valeur avec le temps.

Mais ce type d’investissement suppose de :

  • bien connaître le marché,
  • savoir identifier les pièces rares ou recherchées,
  • accepter une liquidité très faible.

Si vous avez une expertise particulière, cela peut constituer un avantage compétitif vous permettant de réaliser de belles opérations d’achat-revente.

Le stock picking : à manier avec précaution

Sélectionner soi-même des actions peut être tentant. Si vous êtes passionné de finance, bien informé et prêt à y consacrer du temps, vous pouvez y allouer une part marginale de votre portefeuille.

Mais il est important de garder en tête que :

  • la majorité des investisseurs individuels (et même professionnels) ne surperforment pas les indices sur le long terme,
  • cette approche demande du temps, des compétences et de la discipline.

Le cœur de votre portefeuille devrait rester investi dans des ETF diversifiés à faible coût, comme expliqué précédemment.

Le trading à court terme : une mauvaise idée

Méfiez-vous du trading spéculatif et des promesses de gains rapides. Selon l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), plus de 90 % des traders particuliers perdent de l’argent.

Les vidéos ou formations qui vous vendent une indépendance financière grâce au trading en quelques semaines sont trompeuses. Le trading est une activité à haut risque et complexe. Il n’a rien d’un levier réaliste pour s’enrichir durablement.

En résumé : les placements alternatifs peuvent être un complément intéressant, mais ils doivent être réservés à une petite portion (< 10%) de votre portefeuille.

Exemples de réussite financière

L’objectif est de démontrer ci-après que les principes exposés ne sont pas uniquement théoriques. Qu’il est réellement possible de devenir riche.

En s’appuyant sur des hypothèses réalistes, nous présenterons le cas d’un couple d’investisseurs au profil de risque équilibré et un autre au profil de risque de risque dynamique.

Les taux de rentabilité mentionnés ci-dessous correspondent à des espérances de gains fondées sur des performances passées. Ils sont donnés à titre indicatif et ne doivent en aucun cas être considérés comme une garantie de résultat.

Trois grands profils d’allocation d’actifs

On distingue généralement trois grandes allocations types, selon le niveau de risque que l’on est prêt à accepter :

Allocation d'actifs pour trois profils de risque : prudent, équilibré et dynamique

1. Le profil prudent

  • Objectif : sécuriser le capital.
  • Allocation : majorité de fonds euros, complétés par un peu d’ETF et d’immobilier.
  • Rendement attendu : environ 3 à 4%/an.
  • À éviter : cryptomonnaies, private equity, et tout placement très volatil ou illiquide.

2. Le profil équilibré

  • Objectif : trouver un compromis entre rendement et sécurité.
  • Allocation : environ 30 % en actions via ETF, le reste en fonds euros, immobilier et placements alternatifs.
  • Rendement espéré : autour de 5 à 6%/an.

3. Le profil dynamique

  • Objectif : maximiser la performance sur le long terme.
  • Allocation : jusqu’à 50-70 % en actions, le reste en immobilier et fonds euros, avec une ouverture possible aux placements alternatifs (immobilier, private equity, objets passion).
  • Rendement potentiel : 7 à 10 %/an.

Ces modèles sont à personnaliser selon votre situation, vos objectifs et vos horizons de placement.

1er exemple d’enrichissement : couple de 30 ans aux revenus moyens

Prenons le cas d’un couple âgé de 30 ans, chacun percevant 2 200 € nets par mois, soit 4 400 € nets à deux. Ce niveau de revenu correspond au profil médian des salariés français (salaire médian individuel : 2 183 € nets, source : INSEE).

Situation de départ

  • Âge : 30 ans
  • Épargne de sécurité : constituée (équivalent à 6 mois de revenus)
  • Taux d’épargne : 20 %
    Icône jaune Épargne mensuelle : 900 € (450 € chacun)

Hypothèses retenues

  • Profil d’investisseur : équilibré
  • Allocation d’actifs : ETF actions (environ 30 %), complétée par le fonds euros (40%), un peu d’immobilier (25%) et du private equity (5%)
  • Horizon de placement : long terme (30 ans)
  • Rendement moyen annuel : 5 % nets d’impôt

Résultats

Durée d’investissementCapital atteint
5 ans61 032 €
10 ans138 927 €
15 ans238 342 €
20 ans365 224 €
25 ans527 161 €
30 ans733 838 €
Exemple d'un couple investisseur qui épargne 900 € par mois avec un taux de rentabilité de 5%

Au bout de 30 ans, grâce à la rigueur dans leur épargne et à une vision long terme, ce couple bénéficie pleinement des intérêts composés. En ayant investi 324 000 € sur la période, leur capital atteint 733 838 €, soit un gain net de 409 838 €.

Supposons qu’ils souhaitent désormais vivre de leurs revenus sans travailler, en conservant un profil de risque similaire. En plaçant ce capital de 733 838 € avec une rentabilité de 5 % nets de frais et d’impôts, ils peuvent générer un revenu annuel de 36 691 €, soit environ 3 000 € par mois, sans entamer leur capital.

En choisissant des placements optimisés fiscalement, comme l’assurance-vie et le PEA, ce couple maximise ses revenus nets. Selon leur style de vie et leur localisation, ils peuvent ainsi atteindre la liberté financière.

2e exemple d’enrichissement : couple de 40 ans aux revenus élevés

Prenons le cas d’un couple âgé de 40 ans, chacun percevant 4 000 € nets par mois, soit 8 000 € nets à deux. Ce niveau de revenu correspond à la fourchette haute des rémunérations en France.

Situation de départ

  • Âge : 40 ans
  • Épargne de sécurité : constituée (équivalent à 6 mois de revenus)
  • Taux d’épargne : 20 %
    Icône jaune Épargne mensuelle : 1 600 € (800 € chacun)

Hypothèses retenues

  • Profil d’investisseur : dynamique
  • Allocation d’actifs : ETF actions (environ 50 %), complétée par le fonds euros (20%), un peu d’immobilier (25%) et du private equity (5%)
  • Horizon de placement : long terme (20 ans)
  • Rendement moyen annuel : 8 % nets d’impôt
Durée d’investissementCapital atteint
5 ans116 711 €
10 ans288 198 €
15 ans540 170 €
20 ans910 399 €
Exemple d'un couple investisseur qui épargne 1 600 € par mois avec un taux de rentabilité de 8%

Au terme de 20 ans, grâce à une épargne régulière et une vision long terme, ce couple a accumulé 910 399 €, après avoir investi 384 000 €. Ils sont quasiment devenus millionnaires en 20 ans, en partant de 0 € de capital. Leur profil de risque dynamique leur a permis de devenir riche plus rapidement.

Leur gain net s’élève donc à 526 399 €, bénéficiant pleinement de l’effet des intérêts composés.

S’ils souhaitaient à terme cesser de travailler et vivre de leurs revenus, ils opteraient pour une stratégie plus prudente en passant d’un profil dynamique à un profil équilibré afin de sécuriser davantage leur patrimoine.

En plaçant ce capital de 910 399 € à un rendement annuel de 5 % nets de frais et d’impôts, ils génèrent un revenu de 45 520 € par an, soit environ 3 793 € par mois, sans toucher au capital investi.

En privilégiant des placements fiscalement avantageux, comme l’assurance-vie et le PEA, ce couple optimise ses revenus nets.

Selon leur mode de vie et leur localisation, ils peuvent ainsi accéder à la liberté financière. En cas de besoin, ils ont aussi la possibilité de puiser dans leur capital.

Ce qu’il faut retenir

  • Définir la richesse : Devenir riche, c’est atteindre l’indépendance financière, c’est-à-dire vivre sans contrainte financière grâce à un patrimoine générant des revenus passifs.
  • Sécuriser ses finances : Constituer un matelas de sécurité (3 à 6 mois de dépenses) via des livrets sans risque (Livret A, LDDS, LEP) avant d’investir.
  • Investir intelligemment : Privilégier l’assurance-vie, le PEA et le PER pour bénéficier de la fiscalité avantageuse et des intérêts composés.
  • Choisir les ETF : Opter pour des ETF à faibles frais pour une gestion simple et performante, en diversifiant et en utilisant la méthode DCA (investissement régulier).
  • Utiliser l’effet de levier : Investir dans l’immobilier (location meublée, SCPI) avec un crédit pour accélérer la constitution du patrimoine.
  • Entrepreneuriat : Créer une entreprise peut être un puissant levier de richesse, à condition de bien se préparer et de choisir un domaine adapté.
  • Placements alternatifs : Diversifier avec du crowdfunding, du private equity ou des objets de valeur, mais avec prudence (< 10 % du portefeuille).
  • Exemples concrets : Un couple épargnant 900 €/mois à 5 % de rendement peut atteindre 733 838 € en 30 ans ; un couple épargnant 1 600 €/mois à 8 % peut atteindre 910 399 € en 20 ans.
  • Rigueur et patience : La richesse se construit sur le long terme avec discipline, en évitant les pièges comme le trading spéculatif ou les crédits à la consommation.

S’enrichir ne passe pas uniquement par l’épargne ou l’investissement : cela repose aussi sur la connaissance.

Lire, s’informer, suivre l’actualité économique, financière et fiscale sont autant de leviers pour prendre de meilleures décisions. La connaissance est en soi un capital, souvent sous-estimé, mais pourtant extrêmement précieux.

C’est dans cette logique que nous avons voulu rendre la gestion de patrimoine plus accessible à travers Gère ton Patrimoine.

Il est essentiel de multiplier les sources : livres, médias spécialisés, sites d’analyse.

Enfin, n’oubliez pas que dans le domaine de l’investissement, le temps joue un rôle central : plus vous commencez tôt, plus les bénéfices fiscaux ou économiques sont importants.

Alors, ne remettez pas à demain ce que vous pouvez construire dès aujourd’hui. Pour devenir riche, passez à l’action.

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